Les temps modernes (1936)

Comédie, Drame, Romance | 87 min
Évaluation:
8.5/10
8.5
Affiche Les temps modernes (1936).

Information du film

Histoire du film

 

Les Temps modernes montre la vie d’un ouvrier d’usine, employé sur une chaîne de production. Après avoir été soumis à divers mauvais traitements, gavé par une machine ou contraint à visser des écrous à un rythme effréné sur une chaîne de montage accélérée, Charlot (Charlie Chaplin) est atteint d’une dépression nerveuse. Il est alors envoyé à l’hôpital.

Après son rétablissement, devenu chômeur, Charlot est arrêté par erreur, sous l’accusation d’avoir pris la tête d’une manifestation communiste, alors qu’il tentait en fait simplement de restituer un drapeau rouge tombé d’un véhicule de livraison.

En prison, il ingère accidentellement de la cocaïne, la prenant pour du sel. Dans l’état délirant qui s’ensuit, il est mêlé à une évasion à laquelle il met fin en frappant les autres condamnés. Il est alors acclamé en héros par les geôliers et libéré.

Pourtant il se sentait heureux en prison et aurait voulu y demeurer. Libéré contre sa volonté, il découvre combien la vie est rude, et rêve de retrouver sa confortable geôle après avoir provoqué une catastrophe sur un chantier naval. Il rencontre alors dans la rue une orpheline clocharde (la « gamine »), interprétée par Paulette Goddard, qui fuit la police après avoir volé du pain pour se nourrir.

Pour sauver la jeune femme et retourner en prison, Charlot ment à la police et prétend être le voleur. Cependant, un témoin révèle la supercherie et Charlot est libéré. Afin d’être à nouveau arrêté, il ingurgite une énorme quantité de nourriture dans un delicatessen sans payer. Il se retrouve avec la « gamine » dans un fourgon cellulaire, dont ils sont éjectés en route.

Rêvant d’une vie meilleure, Charlot obtient un emploi de gardien de nuit dans un grand magasin, introduit la « gamine » dans celui-ci et tombe sur des cambrioleurs. Il se rend compte qu’il s’agit de ses anciens compagnons d’usine et sympathise avec eux. Se réveillant le lendemain matin dans un tas de tissus, il est arrêté une fois de plus.

Dix jours plus tard, la « gamine » l’emmène dans une maison au bord d’un étang, une cabane délabrée qu’elle admet « ne pas être Buckingham Palace », mais qui fera l’affaire.

Le matin suivant, Charlot apprend l’ouverture d’une nouvelle usine et se rend immédiatement sur les lieux. Par sa faute, son chef est accidentellement piégé dans une machine, mais parvient finalement à s’en extirper.

Les autres travailleurs décident ensuite de mener une grève. Lançant accidentellement une brique sur un policier, Charlot est encore arrêté.

Deux semaines plus tard, il est relâché et apprend que « la gamine » a trouvé un emploi de danseuse dans un bar. La jeune femme essaie de lui fournir un travail de chanteur et de serveur dans ce même restaurant. Le soir, il devient un serveur efficace, et bien que se trompant entre la porte d’entrée et de sortie de la cuisine, il réussit laborieusement à servir un canard rôti. Puis, pendant son spectacle, il perd ses manchettes sur lesquelles « la gamine » avait écrit les paroles d’une chanson que le patron lui avait demandé de chanter, mais se rattrape en improvisant un charabia, Titine (The Nonsense Song), et un numéro de pantomime. De tous les films mettant en scène Charlot, c’est la seule scène où l’on entend la voix du personnage (le reste du film ainsi que les précédents étant muets). La représentation se révèle un vrai succès.

Quand la police arrive pour arrêter « la gamine », recherchée par la police des mineurs, ils s’échappent à nouveau. Finalement, arpentant une route à l’aube, on les voit se diriger vers un futur incertain, mais plein d’espérance, sur une musique de Chaplin qui sera, plus tard, à l’origine de la chanson Smile.

Source: Wikipédia

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Affiche Les temps modernes (1936).

Bande annonce

Comédie, Drame, Romance

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