Acteur, Réalisateur, Scénariste, Producteur
Photo de Jack Nicholson.

Informations personnelles

  • Nom de naissance: John Joseph Nicholson
  • Date de naissance: 22 avril 1937
  • Lieu de naissance: Neptune (États-Unis)
  • Taille: 1.77 m
  • Nationalité: Américain

Biographie

 

Jack Nicholson est un acteur, réalisateur et scénariste américain, né le  à Neptune dans le New Jersey aux États-Unis.

Il a joué un grand nombre de rôles principaux ou secondaires, principalement des personnages sombres, d’anti-héros, de personnages odieux, d’éternel marginal, de vagabond sardonique, de rebelle contre la société, voire de fou, dans de nombreux films culte du cinéma américain comme Easy Rider (1969), Chinatown (1974), Vol au-dessus d’un nid de coucou (1975), Shining (1980), Batman (1989), Mars Attacks! (1996), Pour le pire et pour le meilleur (1997), Les Infiltrés (2006) et du cinéma européen comme Profession: reporter (1975).

Avec douze nominations et trois récompenses, il fait partie des acteurs les plus nommés et récompensés aux Oscars du cinéma.

 

Enfance

Jack Nicholson naît le  à Neptune (New Jersey). Il est le fils d’une showgirl, June Frances Nicholson dite “June Nilson” d’origine anglaise, par sa mère, et irlandaise, par son père.

Six mois plus tôt, le 16 octobre 1936, June avait épousé à Elkton dans le Maryland, Donald Furcillo, dit Donald Rose, un acteur d’origine italienne. Bien qu’il soit déjà marié, Furcillo offre de prendre soin de l’enfant mais la mère de June insiste pour en avoir la garde et permettre ainsi à sa fille de continuer sa carrière. Le petit Jack est donc élevé par ses grands-parents, John J. Nicholson, étalagiste dans un grand magasin à Asbury Park, et Ethel May Rhoads, coiffeuse, esthéticienne et artiste amatrice à Neptune. C’est seulement en 1974 lors d’un entretien avec un journaliste de Time Magazine que Nicholson apprend que ses soi-disant parents étaient en réalité ses grands-parents et que sa « sœur » était sa mère. À cette date, toutes deux sont mortes, et c’est Lorraine, son autre « sœur », en réalité sa tante, qui lui confirme les propos du journaliste.

Il déclarera plus tard ne pas savoir qui était son père, que seules Ethel et June (mortes respectivement en 1963 et en 1970) « savaient et elles ne l’ont dit à personne »On remarque cependant une ressemblance troublante avec l’acteur Arthur Kennedy (1914-1990) qui faisait ses débuts à Broadway en 1937. Patrick McGilligan, auteur de Jack’s Life, a affirmé quant à lui qu’Eddie King, le manager de June, pouvait être le père biologique. Aucun certificat de naissance n’ayant été retrouvé (juste une déclaration a posteriori faite lorsqu’il avait environ 17 ans indiquant Ethel en tant que mère), Jack Nicholson a choisi de ne pas faire de test ADN.

 

Débuts professionnels (années 1960)

Après des études à la Manasquan High School où il est élu “clown de la classe” en 1954, Nicholson commence une carrière d’acteur, scénariste et producteur, travaillant entre autres pour et avec Roger Corman. Cette collaboration inclut sa première apparition dans The Cry Baby Killer (1958), où il joue un délinquant juvénile qui panique après avoir tué deux autres adolescents, La Petite Boutique des horreurs (1960), dans lequel il joue un petit rôle en tant que patient masochiste d’un dentiste, Le Corbeau (1963) et L’Halluciné (1963), dont il partage la tête d’affiche avec Sandra Knight, qu’il a épousée le 17 juin 1962 avec Harry Dean Stanton comme témoin (le couple divorcera le 8 août 1968).

Lorsqu’il arrive pour la première fois à Hollywood, Nicholson est engagé par les studios Hanna-Barbera. Remarquant son talent d’artiste, ils offrent à Nicholson un poste d’animateur qu’il décline.

Alors que sa carrière d’acteur semble marquer le pas, Nicholson se résigne à passer derrière la caméra et se met à écrire des scénarios. Naissent ainsi Thunder Island (1963) de Jack Leewood, Flight to Fury (1964) et L’Ouragan de la vengeance (1965) de Monte Hellman. Ami de Bert Schneider et de Bob Rafelson, ce dernier lui demande d’écrire son premier film, Head (1968), un film sur le groupe Les Monkees. Ce sera la première de leurs collaborations, Nicholson jouant par la suite dans cinq des films de Rafelson. Nicholson passe des mois au contact du groupe dont les membres l’apprécient beaucoup. Il se rend sur le plateau de la série télévisée, les rencontre à leurs domiciles afin de s’inspirer de leur univers, toute l’équipe du film étant d’accord pour qu’il ne soit pas qu’une version longue de la série.

Même si les films qu’il écrit n’ont pas vraiment de succès, ce travail de scénariste permet à Nicholson de subsister. Il fait aussi une apparition dans deux épisodes de la sitcom The Andy Griffith Show, dans le rôle de Marvin Jenkins, en 1966 et 1967.

 

La route vers la célébrité (1969-1974)

En 1967, il écrit le scénario de The Trip, film psychédélique réalisé par Roger Corman et interprété par Peter Fonda et Dennis Hopper, qui remporte un grand succès en raison de son adéquation avec le mouvement hippie alors à son apogée. Fonda et Hopper lui permettent deux ans plus tard de reprendre sa carrière d’acteur en lui offrant le rôle de George Hanson, un avocat alcoolique, dans le film culte Easy Rider (1969), qui lui vaut sa première nomination aux Oscars.

Une nomination comme meilleur acteur suit l’année suivante pour son rôle dans Cinq pièces faciles (1970), nouvelle collaboration entre Nicholson et le réalisateur Bob Rafelson. Dans ce film, Nicholson incarne un pianiste de concert en rupture de ban avec sa famille. Cette même année, il apparaît dans Melinda (1970) de Vincente Minnelli, dans le rôle du demi-frère de Daisy Gamble (Barbra Streisand). Il retrouve Rafelson en 1972 pour le film The King of Marvin Gardens, mais l’œuvre a peu d’impact.

Il se voit proposer le rôle culte de Michael Corleone dans Le Parrain (1972) de Francis Ford Coppola mais refuse: bien que pressentant le succès du film, il pensait que les personnages italiens devaient être joués par des acteurs italiens.

Il incarne Billy “Badass” Buddusky, un soldat fort en gueule, dans la comédie dramatique La Dernière Corvée (1973) de Hal Ashby. Le film lui vaut d’être nommé aux Oscars comme meilleur acteur et aussi de remporter le prix d’interprétation masculine au Festival de Cannes 1973.

Après La Dernière Corvée, les rôles se multiplient pour Nicholson. L’acteur apparait dans Tommy (1975), adaptation par Ken Russell de l’opéra-rock du groupe The Who.

Au cours de cette période, Jack Nicholson tient également le rôle principal dans trois œuvres majeures: Chinatown (1974) de Roman Polanski et Vol au-dessus d’un nid de coucou (1975) de Miloš Forman. Le premier est un pastiche de film noir dans lequel l’acteur incarne un détective privé hâbleur enquêtant sur une affaire des plus complexes. Le second est l’adaptation d’un roman de Ken Kesey se déroulant dans un asile psychiatrique. Jack Nicholson y interprète un délinquant entrant en conflit avec une infirmière-chef, incarnée par Louise Fletcher. Dans le polar poétique Profession : reporter (1975) de Michelangelo Antonioni, il joue un journaliste qui prend l’identité d’un homme mort. Le film est tourné en Afrique puis en Europe. « Magnifiquement dirigé par Antonioni, l’acteur en fait peu, tenu à distance de ses tendances au cabotinage. Parmi les grands films de la filmo Nicholson, on tient ici le chef-d’oeuvre absolu». Ces films, aujourd’hui considérés comme des classiques, achèvent d’établir la réputation de Nicholson.

 

Une icône américaine (1974-1989)

Non récompensé pour son rôle de détective dans Chinatown (film dont il réalisera lui-même une suite quelques années plus tard), Jack Nicholson remporte son premier Oscar du meilleur acteur grâce à son interprétation dans Vol au-dessus d’un nid de coucou (1975). Le film reçoit également les 4 autres récompenses principales de la cérémonie à savoir meilleur film, meilleur réalisateur, meilleure actrice et meilleure adaptation.

Par la suite, Jack Nicholson tient un rôle secondaire dans Le Dernier Nabab (1976), le dernier film que réalisera Elia Kazan et dans lequel il partage la vedette avec Robert de Niro, Tony Curtis, Robert Mitchum et Jeanne Moreau. L’acteur donne aussi la réplique à Marlon Brando dans Missouri Breaks (1976), un western réalisé par Arthur Penn et qui est plutôt mal reçu. Il signe également une deuxième réalisation, En route vers le sud (1978), un autre western, mais humoristique cette fois-ci. Outre d’en assurer la mise-en-scène, il y incarne un hors-la-loi contraint de se marier.

Puis, aux côtés de Shelley Duvall, il tient le rôle principal, celui de l’écrivain Jack Torrance, dans le film d’horreur fantastique Shining (1980), adaptation par Stanley Kubrick du roman de Stephen King. Comme souvent avec Stanley Kubrick, le tournage est assez éprouvant. Bien que Jack Nicholson ne reçoive aucune nomination aux Oscars pour ce film (Shining est ignoré par l’académie et même nommé à la première cérémonie des Razzie Awards), son interprétation est considérée comme l’une des plus marquantes de sa carrière. Kubrick dira de lui : « Nicholson est sans doute le plus grand comédien d’Hollywood aujourd’hui, l’égal des plus grands acteurs de composition du passé, comme Spencer Tracy et James Cagney. »

Il reçoit en revanche l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour son interprétation de Garrett Breedlove, un astronaute à la retraite, dans Tendres Passions (1983), premier film de James L. Brooks, réalisateur venu de la télévision.

Jack Nicholson est prolifique durant les années 1980. Aux côtés de Jessica Lange, il joue le rôle principal d’une nouvelle adaptation de Le facteur sonne toujours deux fois (1981) que réalise Bob Rafelson sur un scénario de David Mamet. Il tient un rôle secondaire, celui du dramaturge Eugene O’Neill, dans l’ambitieuse fresque historique Reds (1981) de Warren Beatty. Il incarne aussi un garde frontalier dans le drame social Police frontière (1982) de Tony Richardson, un truand pas très futé dans L’Honneur des Prizzi (1985), avant-dernier film de John Huston, un journaliste cavaleur dans La Brûlure (1986) de Mike Nichols, le diable dans Les Sorcières d’Eastwick (1987) de George Miller (1987) et un vagabond dans Ironweed (1987) de Hector Babenco. Ces rôles lui rapportent trois nominations aux Oscars (Reds, L’Honneur des Prizzi et Ironweed).

En 1989, Batman de Tim Burton, où Jack Nicholson tient le rôle du Joker, est un succès commercial international. Grâce à une participation aux recettes, Batman rapporte à l’acteur environ 60 millions de dollars. L’acteur est pressenti pour reprendre le rôle en 1999 dans le cinquième film de la franchise, Batman Triumphant, mais Warner Bros. Pictures annulera le projet.

 

Confirmation (années 1990)

Au début des années 1990, Nicholson présente The Two Jakes, une suite à Chinatown dans laquelle il reprend son personnage de détective privé et dont il signe également la mise-en-scène. La gestation du film est laborieuse et, à sa sortie, l’œuvre ne suscite qu’une réaction mitigée.

Nicholson est une fois de plus nommé aux Oscars pour son rôle du colonel Nathan R. Jessep dans Des hommes d’honneur (1992), un film sur un crime dans une unité de la Marine américaine. Réalisé par Rob Reiner et adaptant une pièce de théâtre d’Aaron Sorkin, qui deviendra par la suite le concepteur de la télé-série The West wingDes hommes d’honneur contient une scène particulièrement célèbre pendant laquelle Nicholson et sa co-vedette Tom Cruise s’affrontent au cours d’un procès.

En 1998, Nicholson reçoit un deuxième Oscar du meilleur acteur pour son rôle de Melvin Udall, un auteur névrosé souffrant de trouble obsessionnel compulsif, dans Pour le pire et pour le meilleur (1997), une comédie sentimentale à nouveau signée par James L. Brooks.

Parmi les autres œuvres auxquelles Nicholson participe au cours de cette décennie, on peut noter la comédie satirique Mars Attacks! (1996), film dans lequel il tient deux rôles et qui lui permet de renouer avec Tim Burton. Il incarne également le personnage principal du film The pledge (2001), le deuxième long-métrage signé Sean Penn.

Toutes les prestations de Nicholson n’ont cependant pas été aussi bien reçues. Il a ainsi été nommé aux Razzie Awards du pire acteur pour Man Trouble et Hoffa en 1992.

 

Retrait progressif (années 2000)

Dans Monsieur Schmidt (2002), Nicholson interprète un actuaire d’Omaha (Nebraska) qui s’interroge sur sa vie et sur la mort de sa femme. Son calme et son jeu tout en finesse, qui contraste avec nombre de ses rôles précédents, lui vaut une nouvelle nomination à l’Oscar du meilleur acteur. Dans la comédie potache Self Control (2003), il joue un thérapeute agressif désigné pour aider le pacifiste convaincu Adam Sandler. La même année, dans Tout peut arriver (2003), il joue le rôle d’un playboy qui tombe amoureux de la mère (Diane Keaton) de sa petite amie.

Nicholson renoue avec les rôles sombres dans le drame policier Les Infiltrés (2006), première collaboration entre Nicholson et Martin Scorsese. Le film est un remake de Infernal Affairs (2002) de Andrew Lau et Nicholson y tient le rôle de Frank Costello, un parrain sadique de la mafia irlandaise de Boston aux côtés de Matt Damon et Leonardo DiCaprio.

Il retrouve ensuite Rob Reiner pour la comédie dramatique Sans plus attendre (2007) qui lui permet de faire face à Morgan Freeman. Ensuite, il fait partie de la distribution de la comédie chorale Comment savoir (2010), de James L. Brooks, aux côtés de Owen Wilson, de Paul Rudd et de Reese Witherspoon. Il s’agit de sa dernière apparition à l’écran.

 

Retraite (années 2010)

En 2013, il semblerait que Nicholson ait été en négociation avec Tom Cruise pour jouer dans un film nommé El Presidente. Il avait, dans un premier temps, refusé le rôle pour le confier à Robert Downey Jr.. Ce dernier le lui a ensuite rendu. Par ailleurs, Tom Cruise annonçait tout faire pour convaincre l’acteur oscarisé de rejoindre le casting, en menaçant même d’abandonner le rôle si Jack Nicholson ne participait pas. Celui-ci a juste accepté de lire le scénario du futur projet.

Il décline les rôles qui lui sont proposés pour les films 42 (2013) et Le Juge (2014).

Jack Nicholson est annoncé pour prendre le rôle-titre du remake américain du film allemand Toni Erdmann (2016), sortant ainsi de sa retraite cinématographique.

Jack Nicholson est, en 2018, le seul acteur avec Michael Caine à avoir été nommé aux Oscars sur cinq décennies consécutives.

 

Vie privée

Connu pour son incapacité à se fixer, Nicholson a eu cinq enfants de quatre femmes différentes :

  • Jennifer Nicholson (née en 1963) avec son épouse Sandra Knight;
  • Caleb James Goddard (né en 1970) avec Susan Anspach, sa partenaire sur Cinq pièces faciles;
  • Honey Hollman (née en 1981) avec Winnie Hollman ;
  • Lorraine Nicholson (née en 1990) et Raymond Nicholson (né en 1992) avec Rebecca Broussard.

Compagnon d’Anjelica Huston pendant dix-sept ans (de 1973 à 1989), il entretient des liaisons avec de nombreuses actrices et top models (telle Lara Flynn Boyle, de trente ans sa cadette), ainsi qu’avec Margaret Trudeau.

Fan des New York Yankees et des Lakers de Los Angeles, il a assisté à tous les matchs de ces derniers se déroulant au Forum et au Staples Center pendant vingt-cinq ans (au point qu’il refuse parfois de tourner lors de certaines retransmissions), allant jusqu’à descendre sur le terrain pour se disputer avec des arbitres ou des joueurs adverses.

Nicholson a été pendant de nombreuses années le voisin de Marlon Brando et Warren Beatty sur Mulholland Drive à Beverly Hills, ce qui a valu à la rue le surnom de « Bad Boy Drive » (litt. « Voie des mauvais garçons »). Après la mort de Brando en 2004, Nicholson a racheté son bungalow, laissé à l’abandon, pour 6,1 millions de dollars avant de le faire démolir, par respect pour la mémoire de l’acteur.

Nicholson est aussi un ami proche du réalisateur Roman Polanski, qui l’a dirigé en 1974 dans Chinatown, le soutenant lors de nombreuses crises personnelles telles que la mort de son épouse, Sharon Tate, tuée par la « famille de Charles Manson » en 1969, ou sa condamnation pour viol sur une mineure, un crime qui s’est déroulé chez Nicholson à Mulholland Drive.

 

Distinctions

Nominations & Récompenses

AFI (American Film Institute)

  • 1994 : American Film Institute Life Achievement Award pour l’ensemble de sa carrière.

Festival de Cannes

  • 1974 : Prix d’interprétation masculine pour La Dernière Corvée (1973).

Oscars

  • 1970 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Easy Rider (1969).
  • 1971 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour Cinq pièces faciles (1970).
  • 1974 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour La Dernière Corvée (1973).
  • 1975 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour Chinatown (1974).
  • 1976 : Oscar du meilleur acteur pour Vol au-dessus d’un nid de coucou (1975).
  • 1982 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Reds (1981).
  • 1984 : Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Tendres Passions (1983).
  • 1986 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour L’Honneur des Prizzi (1985).
  • 1988 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour Ironweed (1987).
  • 1993 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Des hommes d’honneur (1992).
  • 1998 : Oscar du meilleur acteur pour Pour le pire et pour le meilleur (1997).
  • 2003 : Nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour Monsieur Schmidt (2002).

BAFTA

  • 1970 : Nomination au BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Easy Rider (1969).
  • 1975 : BAFTA du meilleur acteur pour La Dernière Corvée (1974) et Chinatown (1974).
  • 1977 : BAFTA du meilleur acteur pour Vol au-dessus d’un nid de coucou (1976).
  • 1983 : BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Reds (1982).
  • 1990 : Nomination au BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Batman (1989).
  • 2003 : Nomination au BAFTA du meilleur acteur pour Monsieur Schmidt (2002).
  • 2007 : Nomination au BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Les Infiltrés (2006).

Golden Globes

  • 1970 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Easy Rider (1969).
  • 1971 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Cinq pièces faciles (1970).
  • 1972 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Ce plaisir qu’on dit charnel (1971).
  • 1974 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour La Dernière Corvée (1973).
  • 1975 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Chinatown (1974).
  • 1976 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Vol au-dessus d’un nid de coucou (1975).
  • 1982 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Reds (1981).
  • 1984 : Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Tendres Passions (1983).
  • 1986 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour L’Honneur des Prizzi (1985).
  • 1988 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Ironweed (1987).
  • 1990 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Batman (1989).
  • 1993 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Hoffa (1992).
  • 1993 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Des hommes d’honneur (1992).
  • 1998 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Pour le pire et pour le meilleur (1997).
  • 1999 : Cecil B. DeMille Award pour sa contribution exceptionnelle dans le domaine du spectacle.
  • 2003 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Monsieur Schmidt (2002).
  • 2004 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Tout peut arriver (2003).
  • 2007 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Les Infiltrés (2006).

Autres

  • 1988 : Saturn Award du meilleur acteur pour Les sorcières d’Eastwick (1987).
  • 1997 : Satellite Awards du meilleur acteur dans une comédie pour Mars Attacks! (1996).
  • 1998 : Screen Actors Guild Awards du meilleur acteur pour Pour le pire et pour le meilleur (1997).
Source: Wikipédia

 

Filmographie

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Photo de Jack Nicholson.

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