Acteur, Réalisateur, Scénariste, Producteur
Photo de Kirk Douglas.

Informations personnelles

  • Nom de naissance: Issur Danielovitch Demsky
  • Date de naissance: 9 décembre 1916
  • Lieu de naissance: Amsterdam (États-Unis)
  • Taille: 1,75 m
  • Nationalité: Américain
  • Date de décès: 5 février 2020 (à 103 ans)

Biographie

 

Kirk Douglas, né Issur Danielovitch Demsky le  à Amsterdam (État de New York) et mort le  à Beverly Hills, en Californie, est un acteur, producteur, réalisateur et écrivain américain. Il est le père de l’acteur et producteur Michael Douglas.

Figure majeure du cinéma américain, Kirk Douglas est un des acteurs les plus populaires au monde dans les années 1950 et 1960. Nombre de ses films deviennent des classiques, et il excelle dans tous les genres : la comédie (Au fil de l’épée en 1959), l’aventure (Vingt Mille Lieues sous les mers en 1954, Les Vikings en 1958), le western (Règlement de comptes à O.K. Corral en 1957), le péplum (Spartacus en 1960), les films de guerre (Les Sentiers de la gloire en 1957, Sept jours en mai en 1964, Les Héros de Télémark en 1965) et le drame (La Vie passionnée de Vincent van Gogh en 1956, Seuls sont les indomptés en 1962). Sur le plan physique, l’acteur est notamment reconnaissable à sa fossette très visible au menton.

Douglas a tourné avec de nombreux réalisateurs réputés comme Brian De Palma, Stanley Kubrick, Vincente Minnelli, John Huston, Howard Hawks, Otto Preminger, Joseph L. Mankiewicz, Elia Kazan, Billy Wilder et King Vidor.

Plusieurs films dans lesquels il joue abordent des thèmes sensibles, comme celui des cours martiales lors de la Première Guerre mondiale avec Les Sentiers de la gloire (1957), qui est interdit à sa sortie dans beaucoup de pays européens. Dans le genre du western avec La Captive aux yeux clairs (1952), La Rivière de nos amours (1955) et Le Dernier Train de Gun Hill (1959), il tourne des films qui réhabilitent la figure de l’Amérindien et dénoncent le racisme. Connu pour son engagement démocrate, il est un producteur courageux à une époque où le cinéma américain est en proie au maccarthysme, notamment en engageant Dalton Trumbo, le scénariste figurant sur la « liste noire d’Hollywood ».

Ambitieux, séducteur, mégalomane, il est l’un des acteurs américains qui ont le plus marqué la mémoire du public. Sa grande popularité ne s’est jamais démentie et il faisait partie des dernières légendes vivantes de l’Âge d’or de Hollywood avec Olivia de Havilland. En 1999, l’American Film Institute l’a classé 17ème plus grande star masculine du cinéma américain de tous les temps.

Retiré du cinéma en 2008, il s’occupe de sa fondation pour les enfants défavorisés, la « Anne & Kirk Douglas Playground Award » et poursuit son travail d’écriture, après avoir publié ses mémoires de 1988 à 2006.

 

Jeunesse et débuts au cinéma

Issur Danielovitch est le quatrième enfant d’une famille qui en compte sept (il a six sœurs). Il est le fils de Bryna (« Bertha », née Sanglel) et de Herschel (« Harry ») Danielovitch (« Demsky »). Ses parents étaient des immigrants juifs de Tchavoussy, en actuelle Biélorussie, ayant fui le pays pour échapper à la pauvreté et à l’antisémitisme d’État de l’Empire russe. Son oncle paternel, qui avait émigré auparavant, avait utilisé le patronyme de « Demsky », que la famille Danielovitch adoptera aux États-Unis. En plus de leur nom de famille, ses parents changèrent leurs prénoms en Harry et Bertha. Issur adopte quant à lui le surnom d’« Izzy » : né sous le nom d’Issur Danielovitch, il grandit donc sous celui de Izzy Demsky.

Le père est chiffonnier et la famille vit modestement au 46 Eagle Street à Amsterdam, dans l’État de New York. C’est après avoir récité un poème à l’école et reçu des applaudissements que le jeune Issur décide de devenir acteur. Une ambition non partagée par sa famille. À l’université, il est victime d’ostracisme en raison de ses origines sociales, mais le jeune homme trouve une façon d’imposer le respect : la lutte.

En juin 1939, il décide de partir à New York pour se former au métier de comédien. Au théâtre Tamarak, un ami lui suggère de changer son nom. On lui propose Kirk et un nom commençant par un D, Douglas. Il entre ensuite à l’académie américaine d’art dramatique et suit les cours de Charles Jehlinger. Il y rencontre aussi Diana Dill, sa future première femme, et la jeune Betty Bacall, future Lauren Bacall. Après quelques rôles mineurs dans les pièces Spring Again (novembre 1941) et Les Trois Sœurs (décembre 1942), il s’engage dans la marine. Peu avant de s’enrôler, il effectue une démarche de changement de nom : Kirk Douglas, qui était initialement un nom de scène, devient alors son nom d’état civil.

Pendant la guerre, il se marie à Diana. Réformé à la suite d’une dysenterie chronique au printemps 1943, il retourne à New York puis de mars 1943 à juin 1945 il remplace sur scène Richard Widmark dans Kiss and Tell et en avril 1946 il joue dans Woman bites dog. Lauren Bacall, en intervenant auprès de Hal B. Wallis, lui permet d’obtenir le troisième rôle dans L’Emprise du crime (1946) où il joue le mari de Barbara Stanwyck. Il donne la réplique à Robert Mitchum dans La Griffe du passé (1947) et rencontre Burt Lancaster dans L’Homme aux abois (1948). Alors qu’il est père de deux enfants et qu’il se sépare de sa femme, il prend le choix audacieux de tourner Le Champion (1949) alors qu’on lui proposait une superproduction produite par la MGM. Le film est un succès inespéré.

 

La gloire internationale

Kirk Douglas signe alors un contrat avec la Warner et enchaîne plusieurs films (La Femme aux chimères (1950), Le Gouffre aux chimères (1951)…) qui lui permettent de rencontrer et de séduire un grand nombre de stars féminines, dont Rita Hayworth ou Gene Tierney. Las de l’emprise du studio, il décide de ne pas renouveler son contrat après le film La Vallée des géants (1952). Libre, il tourne un western de Howard Hawks, La Captive aux yeux clairs (1952), puis Les Ensorcelés (1952) de Vincente Minnelli, film pour lequel il manque de remporter l’Oscar du meilleur acteur.

Pour les beaux yeux de l’actrice italienne Pier Angeli, il accepte un contrat de trois films qui l’amène en Europe. Le Jongleur (1953), Un acte d’amour (1953) et enfin Ulysse (1954) des jeunes producteurs Dino De Laurentiis et Carlo Ponti. À cette époque il rencontre Anne Buydens, une assistante dont il tombe amoureux et qu’il épouse le 29 mai 1954, la même année que la superproduction Disney Vingt mille lieues sous les mers (1954). Après L’Homme qui n’a pas d’étoile (1955), l’acteur à succès devient producteur et crée la Bryna, du nom de sa mère, et produit La Rivière de nos amours (1955), un succès.

En 1955 il achète les droits du roman Lust for life et confie la réalisation à Vincente Minnelli. La Vie passionnée de Vincent van Gogh (1956) entraîne Kirk Douglas aux limites de la schizophrénie, l’acteur ayant du mal à entrer sans conséquences dans l’âme tourmentée du peintre. Là encore, il est nommé pour l’Oscar du meilleur acteur sans toutefois l’obtenir. Il tourne alors avec son ami Burt Lancaster un western de légende, Règlement de comptes à O.K. Corral (1957). Sa composition du personnage de Doc Holliday reste dans toutes les mémoires. La même année, il s’investit dans la production et l’écriture d’un autre film de légende, Les Sentiers de la gloire (1957) qui permet à Stanley Kubrick de faire ses preuves. Le film ne rapporta pas beaucoup d’argent puis qu’interdit dans un grand nombre de pays européens. Avec la Bryna, il produit Les Vikings (1958), fresque épique qui l’emmène tourner un peu partout dans le monde (dont en France). Le film avec Tony Curtis et Janet Leigh est un gros succès. L’année suivante, après le film Au fil de l’épée (1959), sa mère meurt le jour de son anniversaire.

Vexé de ne pas avoir été choisi pour interpréter Ben-Hur (1959), il choisit de faire son propre film épique en adaptant au cinéma l’histoire de Spartacus (1960), l’esclave qui fit trembler Rome. Une préparation longue et compliquée, un tournage long et difficile (le réalisateur Anthony Mann est remplacé par Stanley Kubrick), mais un immense succès et un rôle qui place définitivement Kirk Douglas au panthéon des stars de Hollywood. En 1962, toujours sur un scénario de Dalton Trumbo, il interprète un cow-boy perdu dans le monde moderne dans Seuls sont les indomptés (1962), son film préféré de toute sa carrière cinématographique. Il triomphe aussi au théâtre dans la pièce Vol au-dessus d’un nid de coucou, qu’il comptait jouer au cinéma. Après quelques échecs commerciaux, dont un ambitieux, Le Dernier de la liste (1963), il revient aux films engagés avec Sept jours en mai (1964). Dans Les Héros de Télémark (1965) il est un scientifique qui tente de stopper la progression industrielle allemande pendant la guerre. Sur la même période, il enchaîne avec Première Victoire (1965) et L’Ombre d’un géant (1966). Après un petit rôle dans Paris brûle-t-il ? (1966) de René Clément, il retrouve John Wayne pour un western à succès La Caravane de feu (1967).

Il tourne L’Arrangement (1969) sous la direction de Elia Kazan puis sous celle de Joseph L. Mankiewicz pour un western original et déroutant, Le Reptile (1970) aux côtés de Henry Fonda. Après une autre adaptation d’un roman de Jules Verne (assez sombre), Le Phare du bout du monde (1971), Kirk Douglas décide de passer à la réalisation.

 

Déclin progressif et retrait du cinéma

En 1973, Kirk Douglas réalise Scalawag, adapté de L’Île au trésor sur un sujet qu’il pense rentable avec un budget correct. Le tournage est catastrophique, comme en témoigne le journal de bord. Le film est un échec total. Deux ans plus tard, il réitère l’opération avec La Brigade du Texas (1975), western qui ne trouve pas son public. Ce dernier film l’incite à abandonner la réalisation.

Ne voulant plus tourner que des films qui l’intéressent, il produit Holocauste 2000 (1977), et Saturn 3 (1980), ce dernier étant nommé aux Razzie Awards. Furie (1978) lui permet de se frotter au Nouvel Hollywood avec Brian De Palma, et Nimitz, retour vers l’enfer (1980) de retrouver le film de guerre, mâtiné cette fois de science-fiction.

Il retrouve son ami Burt Lancaster pour Coup double (1986). Victime d’un grave accident d’hélicoptère en Californie duquel il réchappe miraculeusement, il réduit son activité cinématographique, freinée par une attaque cérébrale en 1996.

Diamonds (1999) est l’occasion pour l’acteur de retrouver Lauren Bacall et de recevoir au festival de Deauville un hommage pour l’ensemble de sa carrière. Une attaque cardiaque en 2001 lui enlève tout espoir de retourner au cinéma; il accepte de tourner dans Une si belle famille (2003) aux côtés de son ex-femme Diana, de leur fils Michael et leur petit-fils Cameron. Trois générations de Douglas sont réunies pour un film sorti de façon discrète et qui ne connaîtra pas un grand succès.

Depuis le milieu des années 1990, Kirk Douglas est fréquemment honoré dans le monde entier pour l’ensemble de sa carrière. Écrivain, il avait publié plusieurs ouvrages et se consacrait à sa fondation en faveur des enfants défavorisés. Il fête ses 100 ans le  au Beverly Hills Hotel, entouré de sa famille et de deux amis de longue date, l’acteur Don Rickles et le réalisateur Steven Spielberg.

 

Engagement politique

L’image de Kirk Douglas est indéniablement liée à la politique, puisqu’il fut un producteur audacieux et très souvent engagé. Démocrate affirmé, il a voyagé dans le monde entier pour le compte des gouvernements successifs sous l’impulsion du président Kennedy. Bien que démocrate, il fut reçu par l’ancien acteur Ronald Reagan à la Maison-Blanche et fut proche de sa femme, Nancy.

Au cinéma, dans le western, il prend la défense des Indiens : La Captive aux yeux clairs (1952) d’Howard Hawks, La Rivière de nos amours (1955) d’André de Toth et Le Dernier Train de Gun Hill (1959) de John Sturges. Évoquant la Première Guerre mondiale, il fustige l’imbécilité meurtrière des militaires avec Les Sentiers de la gloire (1958) de Stanley Kubrick. Il produit aussi un thriller politique avec Sept jours en mai en 1964. Le film raconte le coup d’État d’un général d’extrême droite qui tente de renverser le gouvernement démocrate américain, désireux de signer un traité de paix avec l’URSS.

Sa collaboration avec le scénariste Dalton Trumbo (victime de la liste noire et que défend Kirk Douglas pour qu’il soit signé au générique de Spartacus, dans le contexte du maccarthysme) s’étend sur trois films : Spartacus (1960), El Perdido (The Last Sunset) en 1961 et Seuls sont les indomptés (1962). Ce dernier film est le préféré de Kirk Douglas.

En septembre 2016, alors qu’il s’apprête à fêter ses 100 ans, l’ancien acteur publie une tribune intitulée « La route à suivre », dans laquelle il évoque son passé pour souligner les similitudes entre la Grande Dépression, la montée du nazisme et « la stratégie de la peur » mise en œuvre par le candidat Donald Trump, et cherche à alerter l’opinion sur les dangers d’une répétition d’un désastre historique.

 

Kirk Douglas l’écrivain

Outre quelques romans de fiction (The GiftLast tango in BrooklynDance with the Devil), Kirk Douglas publie la première partie de son autobiographie, Le Fils du chiffonnier, en 1988.

Douglas se décrit étouffé par une multitude de grandes sœurs et en quête pathétique de reconnaissance vis-à-vis d’un père indifférent. Le ton est souvent critique et caustique envers lui-même. Il y raconte de nombreux tournages, des anecdotes sur les vedettes américaines, ses joies et ses colères. Son cœur abrite toujours Issur Danielovitch Demsky, le fils du chiffonnier. C’est ce que ce livre démontre. Derrière la vedette du cinéma américain se cache le petit garçon peureux. L’ouvrage est un succès mondial lors de sa sortie.

La deuxième partie, Climbing The Mountain: My Search For Meaning, parue en 2000, est un texte sur la découverte par l’acteur de sa propre judéité.

La troisième partie, My Stroke Of Luck, en 2002, raconte l’accident vasculaire cérébral dont il est victime en 1996. Diminué et incapable d’émettre le moindre mot, il raconte la violente dépression qui suivit et la redécouverte de l’amour, de la vie et des siens. Le livre se clôt par un « Manuel de survie ».

En 2006, il publie à quatre-vingt-dix ans le dernier tome de son autobiographie, Let’s face it: Ninety years of Living, Loving, and Learning. Il y parle de l’équilibre et de la quiétude avec laquelle il aborde désormais l’existence et parle pour la première fois de la disparition tragique par overdose de son plus jeune fils, Eric.

En 2012, il publie I Am Spartacus ! : Making a Film, Breaking the Blacklist, récit de l’élaboration puis du tournage du film réalisé par Stanley Kubrick, mais qui est en fait, de bout en bout, le projet de Kirk Douglas. Le livre se situe dans le contexte de la fin du maccarthysme, ce qui en fait aussi un témoignage sur le contexte politique de l’époque. La préface du livre a été écrite par l’acteur George Clooney.

 

Vie privée

Kirk Douglas s’est marié deux fois : la première fois avec Diana Dill (née le 22 janvier 1923, divorcée en 1951 et morte le 3 juillet 2015) avec qui il a eu deux fils, l’acteur Michael Douglas et Joel Douglas; la seconde fois en 1954 avec Anne Buydens née Hannelore Marx le 23 avril 1919 avec qui il a eu également deux fils, le producteur Peter Vincent Douglas, né le , et l’acteur Eric Douglas, né le  et mort le  d’une overdose.

Il a sept petits-enfants (trois enfants de Michael Douglas, dont l’aîné Cameron Douglas est également acteur, et quatre enfants de Peter Douglas).

Il a une arrière-petite-fille (un enfant de Cameron Douglas, son petit-fils).

Il meurt dans la nuit du 5 février 2020, à l’âge de 103 ans.

 

Décorations

En 1985, il est décoré de la Légion d’honneur par Jack Lang, ministre de la Culture.

 

Prix et distinctions

Oscars

  • 1950 : nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour Le Champion.
  • 1953 : nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour Les Ensorcelés.
  • 1957 : nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour La Vie passionnée de Vincent van Gogh.
  • 1996 : Oscar d’honneur « pour 50 ans de force créative et morale dans la communauté cinématographique ».

 

Golden Globes

  • 1952 : nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Histoire de détective.
  • 1957 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour La Vie passionnée de Vincent van Gogh.
  • 1968 : Cecil B. DeMille Award pour l’ensemble de sa carrière.
  • 1986 : nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Amos.

 

Primetime Emmy Awards

  • Primetime Emmy Awards 1986 : Nomination à l’Emmy Award du meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Amos (1985).
  • Primetime Emmy Awards 1992 : nomination à l’Emmy Award du meilleur acteur dans une série télévisée dramatique pour Les Contes de la crypte (1992).
  • Primetime Emmy Awards 2000 : nomination à l’Emmy Award du meilleur acteur invité dans une série télévisée dramatique pour Les Anges du bonheur (2000).

 

Festival international du film de Berlin

  • 1975 : nomination pour l’Ours d’or du meilleur film pour La Brigade du Texas.

 

Festival international de San Sebastián

  • 1958 : Meilleur acteur pour Les Vikings.

 

New York Film Critics Circle Award

  • 1956 : Meilleur acteur pour La Vie passionnée de Vincent van Gogh.

 

Césars du cinéma

  • 1980 : César d’honneur pour l’ensemble de sa carrière.

 

Hommages

Le festival du film américain de Deauville lui rend un hommage en 1978 et 1999.

Il reçoit en 1981 la médaille présidentielle de la Liberté.

Souvent nommé aux Oscars, Kirk Douglas n’a jamais reçu la statuette du meilleur acteur; en 1996, il est honoré d’un Oscar d’honneur pour l’ensemble de sa carrière.

Toujours en 1996, il reçoit le prix Carl Foreman par la fondation du cinéma américain.

Pour l’ensemble de sa carrière, il est récompensé par le National Board Of Review en 1988 et par l’American Film Institute (AFI) en 1991. La Convention ShoWest lui attribue quant à elle un prix honorifique en 1994. En 1997, c’est au tour du festival de cinéma de Hollywood de le récompenser. En 1999, la Guilde des Acteurs de cinéma le récompense d’un Screen Actors Guild Life Achievement Award.

En 2001, il reçoit le prix Milestone au prix PGA L’Orel d’or; la même année, il est récompensé par le festival de cinéma de Wine Country et par celui de Berlin.

 

Bande dessinée

Il a été représenté sous le nom de Spartakis pastiche de son rôle dans Spartacus dans l’album La Galère d’Obélix, de la série Astérix.

Source: Wikipédia

 

Filmographie

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