En 1123, pour avoir sauvé la vie du Roi des Francs, Louis VI (Didier Pain), dit « le Gros », le comte Godefroy de Montmirail (Jean Reno), dit « le Hardi », se voit promettre en épousailles Frénégonde de Pouilles (Valérie Lemercier), la fillotte du duc Fulbert de Pouilles. Alors que Godefroy fait route vers le château de sa promise, une sorcière (Tara Gano) lui fait absorber un breuvage à son insu. Ce dernier donne des hallucinations au comte, au point de lui faire assassiner, par erreur, son futur beau-père, qu’il a pris pour un ours. Afin de réparer sa faute, Godefroy demande conseil au mage Eusæbius (Pierre Vial), qui lui concocte une potion afin de le renvoyer dans le passé, peu de temps avant le drame.
Godefroy ne cherche alors qu’une chose : retourner dans son époque y réparer son erreur afin de pouvoir épouser Frénégonde. La tâche va se révéler difficile car Béatrice le prend pour son « cousin Hubert », un pilote de rallye disparu depuis plusieurs années, qu’elle croit revenu amnésique après un accident à Bornéo, durant le Raid Gauloises. Godefroy finira néanmoins par trouver le descendant du mage Eusæbius qui lui donnera la potion pour retourner enfin au bon moment dans son époque. Mais Jacquouille, qui a entre-temps rencontré Ginette Sarclay (Marie-Anne Chazel), une SDF excentrique avec qui il prévoit de se marier, ne veut plus partir et se débrouille pour faire partir Jacquart à sa place.
J’adore un classique. Je me marre a chaque fois.