Le produit d’une famille musicale, Margaret JoBeth Williams est né à Houston, au Texas, à Frances Faye (Adams), un diététicien, et Fredric Roger Williams, un chef de fil et de câble et chanteur d’opéra. Son père a encouragé son intérêt tôt dans le théâtre pendant l’école secondaire.

Elle a fait ses débuts professionnels à l’âge de 18 ans dans une production musicale basée à Houston, puis a étudié à l’Université Brown à Providence, Rhode Island, avec l’intention de devenir un psychologue pour enfants. Le bogue agissant à nouveau, cependant, et elle a décidé de poursuivre le théâtre après avoir reçu son B.A. En anglais en 1970. Travaillant intensément à perdre son Texas twang, sa formation initiale est venu comme un membre de la Trinity Repertory Company, où elle est restée pendant deux ans et demi.

À New York, la jolie Jobeth est devenue journalière régulière au milieu des années 1970 sur Somerset (1970) et dans un rôle vixenish sur Haine et Passion (1952) avant de faire un impact bref mais mémorable dans un film très populaire à la fin de la décennie . Dans le film de Dustin Hoffman, Kramer et Kramer (1979), Jobeth joue le somptueux sleepover de Hoffman qui est pris au dépourvu par son jeune fils précoce (Justin Henry) le lendemain matin. Elle a également impressionné sur scène avec des rôles majeurs dans «Moonchildren» et «A Coupla White Chicks Sitting Around Talking». Son star maker aurait pu sous la forme de la mère forte de trois enfants qui se bat pour sauver sa progéniture de démons invincibles à la maison dans Steven Spielberg Humongous critique et box-office Poltergeist (1982), qui a également fait une grande star de Film mari Craig T. Nelson. Officiellement dans les grandes ligues maintenant, elle a rejoint le casting de l’ensemble d’étoiles de Les Copains d’abord (1983), et est apparu en face de Nick Nolte dans Teachers (1984). Des résultats décevants dans la suite médiocre Poltergeist II (1986) et l’intrigant mais négligé Une Américaine à Paris (1984) l’ont poussée à chercher un travail plus difficile à la télévision. C’est le petit écran, en fait, qui a particulièrement montré la gamme de talent de Jobeth au fil des ans, en particulier dans le drame domestique. Quelques-uns des plus beaux téléfilms proposés, Jobeth a mérité des nominations aux Emmy pour sa mère de la vie réelle d’un enfant disparu malade chez Adam (1983) et mère porteuse de la vie réelle dans L’instinct d’une mère (1988). D’autres mini-films monumentaux incluent son infirmière dans le drame apocalyptique Le Jour d’après (1983); Sa performance magnétique face à Terry Kinney en tant qu’adhérent adultère et ministre qui réalisent des plans pour tuer leurs conjoints respectifs dans le spectacle saisissant Suspension Ordonné (1987); Alcoolique James Woods l’épouse de longue date dans Mon nom est Bill W. (1989); Elle interprète le rôle de Gwen Harper dans Arrête ou ma mère va tirer ! (1992); Une travailleuse sociale essayant d’atteindre une fille sourde dans Le silence de Laura (1996); Et la mère autoritaire dont le fils se tourne vers la drogue dans Trapped in a Purple Haze (2000). Elle continue d’équilibrer les projets cinématographiques et télévisuels au cours du millénaire. Dans les coulisses, elle a été nommée pour un Oscar pour son début de réalisation de Showtime sur l’espoir (1994) et continue à chercher d’autres projets de direction. Il ne fait pas mal d’être marié à un directeur pour l’encouragement. Elle et John Pasquin, qui l’ont mise en scène dans le film Un Indien à New York (1997) et sur la courte série télévisée Payne (1999), ont deux enfants. Parmi les rôles les plus récents figurent le rôle de la mère de Drew Barrymore dans Terrain d’entente (2005).

Source: IMDB